Préhistoire(s) de peaux


— installation/lecture



POUR/ Dataroom 1.0
LIEU/ Sentier des Saules, GE
DATE/ 06/2018
EN COLLABORATION AVEC/ Daniel Zamarbide (BUREAU)
CRÉDIT PHOTO/ ©BUREAU ©dataroom








Par le biais d’intérêts et/ou d’inquiétudes communes pour les négociations entre intériorités et extériorités, Daniel Zamarbide (BUREAU) et Aurélien Reymond (collectif GALTA) partagent une passion pour une architecture au seuil du bâti.

La peau, probablement, signale ce seuil et en constitue l’espace même. Une peau poreuse, perceptible et sensible, pliée et dépliée entre les mondes vivants. Leurs réflexions s’accompagnent d’architectures parfois construites, parfois habitées. Préhistoire(s) de peaux se présente comme un recueil d’anecdotes, d’intuitions, de sensations et de poèmes.


« Sur les plateaux calcaires, où semble s’être développée
la primitive agriculture, bien des parties de roches plates purent conserver une végétation herbeuse et être d’un attrait certain pour les bêtes de la forêt. Ces clairière naturelles, situées sur [des] lieux secs et dominants, se trouvèrent ainsi voisines d’habitats primitifs ; et la tribu des chasseurs les utilisa, non seulement pour ses tirés, mais aussi pour y faire prospérer ces plantes alimentaires que le gibier recherchait autant que l’homme ».


Gaston Roupnel, Histoire de la Campagne française, p.101




                 







                 



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